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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Il faut quitter l'UE. La preuve par Spanghero

Publié le 28 Mai 2013 par canaille le rouge in Colère

28/05/2013

 

18:08Viande de cheval : suppression de 240 emplois chez Spanghero

 Selon les syndicats, l'administrateur de l'entreprise Spanghero, spécialisée dans la transformation de viande, a annoncé mardi la suppression de 240 emplois, conséquence du scandale de la viande de cheval.

 

 

 

 

 

 

 

http://s1.lemde.fr/image/2013/05/28/534x267/3419364_3_e6cd_spanghero-est-aux-abois-depuis-qu-elle-a-ete_fa325ed1606fde79ddcc9ea7fbbfaaee.jpg

 

Quand quelques sinistres artistes de la carambouille se servant avec maestria des lois de l'U.E. mènent une fraude à grand échelle, il faut bien prendre des sanctions.

 

Pour les salariés qui ont fait leur boulot (chacun aura noté qu'il y a fraude et non risque alimentaire, preuve d'où sont localisés les "dysfonctionnements" délictueux) pour eux, variable d'ajustement c'est la porte.


Si ceux qui ont fait leur travail vont être jetés à la rue, ceux qui rencontrent ministres et patrons de la grande distribution dans les réceptions des banquiers ou préfectures vont au plus se faire admonester.


Ces fraudeurs, ceux qui ont laissé faire par laxisme, intérêts ou incompétence, voire un mélange détonnant de tout ou partie des ingrédients financiaro administratifs, au pire vont y laisser un peu de thune voir pour certains rien du tout et vont continuer d'écumer les mer déréglementées battant les côtes de l'UE.


Il y a deux cents ans les flibustiers étaient pendus maintenant ils ont secrétariat et air conditionnée au siège de l'UE.


La Canaille ne demande pas la corde mais la sortie de cet espace dit de concurrence libre et non faussée qui est un gisement d'escrocs et un fabricant de misère.


Au prochain salon de l'alimentation, parions que les fraudeurs d'aujourd'hui trinqueront avec ceux d'hier et de demain et que le ministère de l'intérieur prévenant installera ses CRS pour que les licenciés ne puissent aller demander des comptes à cette brochette qui ne mériterait autre sort que de servir de lest à un sous marin espagnol.


 

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