On rase, et ce ne sera pas gratis. Le feu du rasoir va faire mal...toujours aux mêmes - Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Pourquoi ne pas en profiter ? ils auraient tord de s'en priver puisque personne parmi ceux qui auraient pense-t-on quelque légitimité à organiser la riposte ne cherchent même pas à rassembler contre ces agressions frontales.

Quelles solutions réellement alternatives et donc anticapitalistes les bidouilleurs d'antichambre, les bernicles de manifs, les bulots de mandats vont-ils proposer?

Candidats en campagne, il parait que la mayonnaise prend.

Manif de Bernicles une adhésion compte : la leur et à leur rocher (ou mandat).

C'est Ronceveau. La trompe sonne l'alerte, les Ganelon tripatouillent leurs congrès.

Une image forte dans la mémoire politique parisienne: Fillon annonce ses mesures à l'UMP, cela salle Gaveau.

Japy à gauche reste vide.

Et le congrès de la CFDT vient de mandater Chérèque pour rayer la retraite à 60 ans de ses tablettes.

Que fait-on le 25 juin?

12 juin :

François Fillon annonce 45 milliards de réduction des dépenses publiques

LEMONDE.FR | 12.06.10 | 15h31 • Mis à jour le 12.06.10 | 15h32

Le Monde pour le Monde.fr

e premier ministre François Fillon, qui s'exprimait, samedi 12 juin, salle Gaveau, à Paris, devant des militants de l'UMP, a tracé le chemin à suivre pour le gouvernement en matière de lutte contre le déficit public, qui devrait s'élever en 2010 à 8% du produit intérieur brut (PIB). L'objectif, a-t-il dit, comme Paris s'y est engagé à Bruxelles, est de réduire ce déficit à "6% en 2011", à "4,5% en 2012", pour arriver à "3% en 2013". "Aucun écart ne sera permis", assure le premier ministre.

M. Fillon entend réaliser un plan permettant de dégager 100 milliards d'euros en quatre ans. La moitié doit provenir de "réductions des dépenses" et l'autre moitié de "l'augmentation des recettes".

Le premier ministre précise, concernant les dépenses, que "45 milliards viendront de la réduction des dépenses publiques" et "5 milliards" d'un coup de rabot aux niches fiscales. Côté recette, "35 milliards" viendront d"un rattrapage, après la crise, des pertes de recettes conjoncturelles" et "15 milliards correspondront à la fin des mesures que nous avons prises pour relancer l'économie". "Depuis 2007, 100 000 fonctionnaires n'ont pas été remplacés. je ne connais pas beaucoup de pays qui ont réalisé un tel effort", s'est félicité le premier ministre.

L'Allemagne a annoncé, lundi 7 juin, un plan de rigueur permettant d'économiser 80 milliards d'ici 2014. La feuille de route de M. Fillon, elle, comprend donc 45 milliards de réduction des dépenses. "Un cadre est fixé, c'est important. Il y a une méthode, des précisions", se réjouit Xavier Bertrand, le secrétaire général de l'UMP. "Le plan de l'Allemagne est sur 4 ans, celui-là sur trois ans", remarque-t-il. Le président de la République, Nicolas Sarkozy, doit rencontrer la chancelière allemande, Angela Merkel, lundi 14 mai, à Berlin.

Pierre Jaxel-Truer

C'est cette absence de riposte, la faiblesse des dénonciations qui fait le lit de toutes les droites de tous les populismes.

Et après, les mêmes qui ne font rien vont aller engueuler ceux qui recherchent des issues y compris dans les impasses qu'ils auraient dû et doivent empêcher d'emprunter.

Où sont-ils? A part préparer 2012 que font-ils de concret pour la population?

http://medias.francetv.fr/bibl/url_images/2009/02/02/image_51145656.jpg

Qui va leur dire qu'on se moque de leur horizon 2012 qu'ils scrutent avec tant d'attention et que c'est aujourd'hui l'urgence.

Mais comme ils sont définitivement sourds.

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Sorté la guillotine

14/06/2010 07:03

Alors Canaille tu oubli juste que ces deux la ne maîtrise pas les médiats

canaille le rouge

14/06/2010 07:56

Ces deux là ne s'inscrivent que dans ce débat là et c'est cela qui les rend inaudibles. Pourquoi aller vers les copies quand les originaux sont disponibles? La question c'est de quitter le rocher et de se mettre dans la vague de la colère. Imagine, raccourciceur, que ces deux là, par une révélation subite, appellent à la maitrise publiques des moyens et d'échanges, une augmentation massive des salaires, le retour à une gestion de la protection sociale par les salariés et à la reconnaissance de la citoyenneté sur les lieux de travail. Imagine alors que la question des médias et leur comportement vis à vis d'eux se poserait autrement. Ne serait-ce que par l'audience populaire que cela aurait. Mais comme cela n'est pas leur choix ils sont tels que tu les montre. Et alors la faute leur revient, je n'oublie pas qui maitrise les médias mais je n'oublie surtout pas que le discours de fond qu'ils tiennent font d'eux des trompes des "vuvuzélas idéologiques" qui vrombissent dans les stades de la politique.