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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

En parcourant la campagne

Publié le 29 Avril 2017 par Canaille Lerouge

qui ressemble

à champ de ruine sociale

En parcourant la campagne

Curieux de constater que pour ceux qui veulent casser l'organisation sociale du pays, les responsables de leur défaite possible ne serait pas les électeurs de la Führerin qui marche dans le sillon d'a côté mais ceux qui refusent de se faire trucider.

Ce qui va faire le score du f-haine, c'est son nombre de voix.

Et là, silence des soutiens à son opposant. ils réservent leurs coups à ceux qui s'interrogent  ; dont nombre d'entre eux malgré les odeurs fétides et les miasmes sociaux du programme de leur champion s'apprêteraient à les rejoindre.

Version 2017 des animaux malade de la peste.  Les berger qui ont laissé les loups s'installer, voire ont pétitionné leur droit à vivre en ville, stigmatisent ceux qui dans ce qu'ils pensent "leur" troupeau refusent de se laisser manger et dénoncent les choix des bergers et leurs chiens.

Depuis deux ou trois jours, la phrase de la Passionaria sur l'alliance avec le diable pour combattre fascisme avant de tuer le diable fait flores.

Cette phrase, valable en 1936 en Espagne, déjà prise en défaut en Allemagne et en Italie, à rapidement pris un coup de vieux quand les démocrates se sont aperçus que le plus souvent c'est le diable qui installe le fascisme : Munich, juillet 40, puis ensuite de Djakarta à Santiago en passant par Rio, Bagdad ou Bamako.

Les mêmes qui à coup de messages sur les réseaux sociaux n'ont que Gramsci à la bouche ferait bien de le lire. 

il démontre en substance que le fascisme n'est pas la façon pour les catégories de la petite bourgeoisie de s'opposer au capital financier  mais la forme brutale et achevée de l'état au service du capital financier en rameutant la petite bourgeoisie avant de l'écraser. Les aides matérielles sans fin apportées aux partis et regimes fascistes par le capital financier pour accéder au pouvoir et s'y maintenir en témoignent.

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