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Pour aider à l'analyse des résultats électoraux.
Remercions l'ami Dom qui depuis sa bretagne a eu le réflexe de nous passer le lien.
Un travail très sérieux réalisé en partenariat par le Monde et France culture sur la structuralion des votes liée aux densité de population.
Il ne s'agit pas ici de se projeter dans des spéculations hasardeuses pour les législatives mais plutôt de tirer quelques enseignements sur les structurations géographiques des électorats.
Le système retenu présente un angle d'approche qui parait pertinent.
La lecture non pas à partir du découpage administratif communal habituel qui fait que la lisibilité est ramené au bureau de vote unique des petites communes et chef lieu de canton mais en lui appliquant les critères démographique des densité de population qui permet de différencier centre bourg et écarts, zones à forte ou à faible densité de population.
L'exemple de l'Alsace qui est prise pour développement devrait conduire politologues et analystes désireux d'une lecture réelle et objective de l'état du corps électoral à affuter la méthode et l'intégrer dans leur trousse à outil. Il est évident que cela conduira à des réexamens douloureux de certitudes administrées comme des vérités.
première enseignement les élections se gagnent en ville ce qui doit conduire ou aurait du conduire à ce que toute organisation qui veut changer le système (réellement) travaille à lier des liens fort avec le monde du travail et de la création. Et fasse un travail de masse et non pas du lobbying électoral via des notables. Ce que dans la jeunesse de La canaille on appelait bêtement le contact militant permanent et l'immersion dans la vie quotidiene avec tout le monde. Que c'est loin tout ça.
La méthodologie proposée devrait interpeller élus, militants et tout ceux qui se parfument de compter pour quelque chose que le plus souvent il nesont pas.
Mais peut-on être scientifique et démocrate sans laisser de côté tous les dogmatismes ?
