Si les prud’hommes ont donné raison aux Contis, la bonne nouvelle, ils ont aussi donné tord au auteurs et soutiens de l'ANI.
Si le gouvernement de Zapatayrault n'avait pas poussé les feux, si la CFDT ne s'était pas une nouvelle fois vautrée, le patronat serait dans de beaux draps.
Pour aider à la reflexion sur qui sert à quoi .