"Le Pain, la Paix la Liberté"
reste un mot d'ordre percutant
et mobilisateur.
Ecrit le 13 juillet au matin.
Quand la grande muette l'ouvre, ce n'est jamais pour nous parler de paix entre les peuples mais pour nous préparer à une orientation belliciste de la vie (économie, organisation sociale, droits démocreatiques, mesures liberticides, etc,) liés à l'état de guerre qui pour les états majors- est ce que l'eau est aux pêcheurs à la ligne.
L'état de guerre auquel ils nous préparent ouvre une parenthèse dont on ne sait jamais quand elle se referme, il permet de s'affranchir de toutes les garanties sociales et démocratiques.
Pour déminer le terrain, le princident de la monarblique enjambant la constitution et les droits du parlement (où pourtant il ne risque rien), contournant l'aumonier de Bétharam, vient d'envoyer le chef d'état major des armées en estafette pour nous faire peur.
Pour cette marionette de luxe et ceux qui tirents ses fils, la menace, ce n'est pas la force impérialiste N°1 qui bombarde , soutien génocidaires et dictatures, provoque des états souverain annonçant pouloir annexer les pays comme le premier Adolf venu, pas le dirigeant qui intervient ouvertement dans la vie des états souverain, les provoque, viole le droit international, rejette les juridiction de l'ONU, use du noeud coulant économique pour faire plier les peuples.
Non, pour le dompteur de la piste aux étoiles de Balard, c'est un autre impérialisme, moscovite, aussi peu fréquentable que celui de Washington, une Russie qui sauf information cachée à notre peuple ne nous a jamais menacé vers laquelle il faudrait tourner et renforcer nos machines à tuer et en profiter pour engraisser les marchands de canons.
La paix est une affaire trop sérieuse pour la confier aux militaires et à ceux à qui ils servent de béquille blindée.
Il va falloir au plus vite que notre peuple se réapproprie une de ses valeurs progressistes.
90 ans après le cri du Front Populaire, "Le Pain, la Paix la Liberté" reste un mot d'ordre percutant et mobilisateur.